J’ai décidé qu’en 2020 je serai optimiste. Et si cette nouvelle année commence plutôt bien, je ressens aujourd’hui une peine infinie. Il fait pourtant si beau ! Je suis bien, mais je suis triste. Et c’est en revenant cet après-midi de promenade avec Olive, mon petit chien, que j’ai compris pourquoi.
Je me sens triste et infiniment démunie face à la souffrance des animaux. Depuis ce matin, je ne vois qu’images et messages de désolation concernant nos amis les bêtes. Victimes des aléas du climat, victimes de la maltraitance. En somme, victimes de l’humain. Et ça me mine. Parce que cela me fait notamment prendre un peu plus conscience de l’absurdité de l’espèce « humaine » et que ça me fait peur.